Kaorin #119
Kaorin #119
On avait déjà évoqué le sujet lors de l’épisode 29, temps pour nous de reparler des mondes parallèles ! Depuis 2016, on a même désormais trouvé un thème pour désigner ces récits: les isekai ! On est donc parti pour vous diffuser quinze génériques issus d’animés qui jouent avec les mondes parallèles divers et variés: beaucoup de séries récentes, logiquement, mais aussi quelques grands classiques plus âgés issus de la seconde moitié des années 90. Car les isekai ne sont pas une création si récente que ça….
Au programme, donc: des squelettes maléfiques, des blobs intelligents, une petite faiseuse de livres ou bien des héros perdus dans Tokyo. Faites attention avant de traverser la route !
L'intro: Takuma Terashima - Nameless Story (Moi, quand je me réincarne en Slime OP1)
- Hino Satoshi, Jun Fukushima, Yuusuke Kobayashi, Aoi Yuki - Isekai Showtime (Isekai Quartet 2 OP)
- Naomi Tamura - Embracing Light and Darkness (Magic Knight Rayearth 2 OP)
- KISIDA KYODAN & THE AKEBOSI ROCKETS - GATE II ~Sekai wo Koete~ (GATE II OP)
- Hironobu Kageyama, Hideaki Takatori (Sonic X OP)
- La rediff: Yoko Kanno, Shanti Snyder - Sora (Escaflowne the Movie)
- Megumi Nakajima - Kamikazari no Tenshi (Ascendance of a Bookworm ED)
- MYTH&ROID - TIT FOR TAT (Cautious Hero OP)
- Mimori Suzuko - Yuniba Page (Outbreak Company OP)
- Aoi Yuki - Los! Los! Los! (Youjo Senki ED1)
- Garnet Crow - Haredokei (MÄR OP2)
- Taku Iwasaki - Fearful Dream (Now and Then, Here and There)
- Sangatsu no Phantasia - Rubicon (Re:Creators ED2)
- Void_Chords feat.LIO - FLARE (Arifureta OP)
- OxT - Silent Solitude (Overlord III OP)
Retour à la réalité: Orelsan - La fête est finie
Un mot sur l’émission
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Arifureta, c’est une catastrophe, je confirme, personnellement j’ai suivi le manga en parallèle de l’anime car l’anime est dégueulasse et rush l’histoire comme pas possible, mais je l’ai regardé en entier quand même, c’est un bon nanard de l’animation japonaise pour moi, je ne m’attendais à rien de bon et j’arrivais à être surpris par sa médiocrité et je ne suis bien fendu la gueule pour ça, d’où le qualificatif de nanard.