Les Tauliers #40

Autopsie du jeu d'horreur avec Frédérick Raynal
Disponible depuis le

Halloween oblige, Les Tauliers consacrent leur numéro d’octobre aux jeux d’horreur, accompagnés par Frédérick Raynal, créateur d’Alone in the Dark et du futur 2Dark.

De Resident Evil à Alan Wake, en passant par Silent Hill et Rule of Rose ; les monstres les plus redoutables ne sont pas au micro mais dans l’écran !

Informations complémentaires

Invité : Frédérick Raynal (2Dark sur Ulule, Ludoid, Alone in the Dark).

Émission diffusée sur la webradio SynopsLive le vendredi 31 octobre 2014.

Un mot sur l’émission

Les démons de RadioKawa se réunissent chaque mois pour célébrer (par les flammes) leur amour du jeu vidéo, de son histoire et de son industrie. Pour le meilleur et surtout pour le pire, Jay, Fox, Caféine, Alexleserveur et InkS ne se fixent aucune limite.
Les commentaires

    Très sympa cet épisode, je suis par contre vraiment pas convaincu par The Evil Within, ce que j’en ai vu m’a fait froid dans le dos mais c’était plus des frissons de la honte qu’autre chose.
    Merci à Frédérick Raynal ! (il manque le dernier / dans le lien vers son jeu d’ailleurs)

    VotreLumiereVacille

    Un invité de marque ! Surprenant de le voir dans un tel modeste projet.

    Excellent podcast, comme d’habitude. Je regrette juste que l’équipe n’est pas un peu plus malmené l’invité. Une des questions que je lui aurai posé est la suivante : Pourquoi est ce que les créateurs français bossent majoritairement sur des projets de petite envergures créatives tel que 2dark ? Pourquoi pas quelque chose de plus gros, de plus vendeur, de plus aguicheur, fais avec du talent à la française. Parce que, j’ai l’impression que c’est constamment le cas avec les french, il s’agit toujours de projet au succès d’emblé ultra confidentiel, des trucs pour SE faire plaisir et pas pour faire plaisir aux joueurs. Raynal, fort de sa bouteille aurait pu réunir des talents et bosser sur quelques chose de plus gros, avec d’avantage d’ambition qu’un vieux jeu d’horreur de 3DS… C’est aussi peut être la raison qui rend les studios français si friable sur le plan économique => Les mecs sont là pour faire LEUR délire, même le plus « bof » qui soit (cf remember me) et pas pour faire plaisir à une frange de joueurs qui dépasse les 3% du marché global. Du coup, ça flop et derrière ça rale qu’il soit difficile de faire du jv en france…

    Je comprends que ça puisse donner une image « rebelz » de faire des jeux de garage tout dégueu aux concept flous, mais derrière ça ne parle à presque personne. C’est ce qui est dommage. Le jeu vidéo permet de faire plaisir à d’autres personnes que soi même et avec les french, j’ai constamment l’impression que toute la démarche est nombriliste. Ce qui me semble être le cas de 2Dark pour le coup.

      Je pense que c’est tout l’inverse. Frédérick Raynal n’a rien à prouver à personne. Un projet de grande envergure nécessite une grande équipe (ça se compte en centaines de personnes), de grands moyens, une grande infrastructure. Qu’un mec talentueux ait les cojones de faire son jeu avec sa propre vision, sa liberté, exactement là où il veut aller, c’est pas du nombrilisme, c’est de l’immense courage. Par ailleurs, le jour où tu entendras Frédérick Raynal chouiner sur l’état du JV en France, tu m’appelles. Ce sont toujours ceux qui en font le moins qui se plaignent le plus. « Le jeu vidéo permet de faire plaisir à d’autres personnes que soi même » : nous, les joueurs, n’avons rien à exiger des créateurs. Ca ne nous plaît pas ? Nous n’achetons pas. Il faut arrêter avec cette posture d’enfant-roi exigeant qui hurle aux créateurs de jeux vidéo : « divertissez-moi ! » Les bons jeux existent déjà, suffit d’y jouer. Prenez-vous en main.

    Un créateur est au service de son art, avant d’être au service de son délire à lui. Nous, joueurs, sommes consommateurs de l’art des créatifs, de mon point de vue nous pouvons être exigeants. Il ne faut pas oublier que sans joueurs, les créateurs de jeux vidéo mettent la clef sous la porte, même les plus petits ne peuvent pas subsister, d’où le droit à la réclam°. Puis quand je te parle de projet plus ambitieux, je parle d’avantage de truc « vendable » que de projets énormes type assassin’s creed par exemple. Ce dont je parle, ce sont des trucs comme Flower ou Portal, des jeux pas hyper chers à produire mais qui peuvent attirer la sympathie d’une très grosse frange de joueurs et de non joueurs, mais en plus forcer le respect au reste de l’industrie, producteurs de triple A compris. La le mec que tu décris, celui qu’il va là où il veut aller, avec sa propre vision en mettant sur le côté l’appréciation des joueurs, c’est exactement ce que fait David De Gruttola ou ce qu’on fait les mecs de Dotnod. Ils ne se sont pas du tout alignés sur ce qu’aurait pu apprécier les joueurs et ils font majoritairement de la très grosse merde qui ne plait a absolument personnes, sauf peut être à eux même. Ils gaspillent des talents, ils gaspillent des ressources, du temps et nique la crédibilité des français dans le monde du jv à chaque sortie daubée. C’est le reproche que je fais, et c’est ce à quoi me semble correspondre 2Dark.

    On a du talent en France, mais il se perd dans trucs « ultra confidentiel » – pour être poli, parce que parfois ça respire bon l’echec à tous les niveaux.

      Je comprends ton point de vue, mais un créateur ne crée pas pour des clients, il crée. Ensuite on aime ou on aime pas et on suit le créateur en question. Ça s’appelle respecter la vision du créateur, et c’est comme ça qu’en art ça marche. Sinon tu n’es qu’un exécutant de la volonté de ton client, Da Vinci était très bon dans ce travail, mais ce qui a fait son génie, c’est son Codex et c’était son univers, pas la réponse à une commande émanent d’un besoin.

      Fox a tout dit et toi-même, tu te contredis dans ta première phrase : « Un créateur est au service de son art, avant d’être au service de son délire à lui. » Son art, c’est ce que tu appelles très peu respectueusement « son délire à lui ». Comme je le disais précédemment, il ne faut jamais se comporter comme des consommateurs de bien culturels, il faut travailler sa culture.

      Jordan Belfort

      Excuse-moi, mais je pense que tu dis de la merde, en plus de te contredire d’une phrase sur l’autre. Si Proust avait voulu écrire un triple A, il aurait fait du Marc Lévy.

      Ce nouveau projet -maîtrisé, c’est le mot-clef -empreint de passion et de modestie semble être conçu dans le même esprit qui avait fait la renommée de l’invité et l’amour du public pour son œuvre. Comment cracher sur ce très louable esprit avant d’avoir jugé le résultat qui en émerge ?

    Nous avons partagé nos points de vus, on ne s’entendra pas sur le sujet. Mais derrière, il y a un fait que vous occultez : Le jeu vidéo français est mort depuis longtemps. Et je ne parle pas que de succès financiers, même sur un plan purement artistique ou de succès d’estime, nous n’y sommes pas. Les créateurs renvoient souvent la balle vers les politiques et le fait qu’on ne soutiennent pas le jeu vidéo en France. Pourtant, moi j’ai surtout l’impression que ce sont les créateurs eux mêmes les responsables. Ils n’arrivent pas à accrocher le publique, ni la presse, ni les producteurs. Ce qu’il y a de bien dans le jeu vidéo, c’est qu’en terme d’indépendants ou de petits studios c’est souvent très opaque grâce au fait qu’ils ont souvent besoin de visibilité. On assiste souvent très tôt à la révélation des projets grâce à ce besoin de visibilité. Je peux donc honnêtement dire que je n’ai pas senti un SEUL projet viable depuis bien 10 ans dans le paysage vidéo ludique français. 2dark compris. Rien qui ne me donne envie d’investir le moindre euro, et pourtant, j’aimerai bien. C’est comme les films des mecs qui sortent des écoles française de cinéma et qui te font des trucs tout dégueulis, incompréhensibles, abstrait au possible (synonymes de grand n’importe quoi) et qui se plaignent derrière de ne pas pouvoir en vivre et qui – au final – termine à la poste. Je comprends bien qu’ils s’en foutent probablement de ce que j’en pense, mais faire son truc dans son coin ne fait rien avancé. Il faut aussi savoir viser plus loin que la simple auto satisfaction. Pour prendre un exemple tout con, beaucoup de gens considère que sans Mario et sans Miyamoto, il n’y aurait pas eu de jeu vidéo tel qu’on le connait aujourd’hui. Je ne le pense pas, mais c’est le consensus. Imaginons que Miyamoto ait décidé d’un coup d’un seul de réserver Mario à sa famille et à ses proches. Qu’il ait décidé de garder sa création pour un domaine ultra confidentiel en le rendant super dur ou super indigeste techniquement ?

    Ca me permet de revenir à cette histoire d’art : Il y a eu des accidents artistiques, des gens qui ont fait un peu n’importe quoi dans leurs coins et qui ont touché beaucoup de gens (souvent après leurs morts), mais c’est triste artistiquement parlant. J’irai plus loin qu’au début en disant que plus que d’être au service de l’art, c’est même l’art qui se doit d’être au service des autres. Tu te dois de tout faire pour pour que ton travail touche de nombreuses personnes. Pas tout le monde, mais au moins plus que très très très peu, voir personne. Sinon, c’est juste la mort artistiquement parlant, comme pour le jeu vidéo français.

    En me relisant on pourra me reprocher de pousser les créateurs à faire du mainstream à tout prix, quitte à sacrifier leur créativité, mais les deux sont super conciliables. Minecraft, Hotline Miami, Don’t Starve, Fez ressemblent tous plus ou moins à des délires de garage crée avec max 10000 en poche et pourtant ils ont un énorme potentiel sympathie auprès d’une très grande frange de joueurs, ils frôlent l’unanimité critique et permettent à leurs créateurs d’en vivre et donc de continuer à crée et d’aller encore plus loin. En France, ce sont des projets comme ça qu’il nous manque.

    Nameo > Tu dis surtout n’importe quoi. Le jeu français n’est pas mort. Il a juste moins de presse que les AAA (ou les jeux japs même si aujourd’hui, il vaut mieux parler de jeux occidentaux parce que fatalement le public change et que le boulot de journaliste a vraisemblablement changé). Pour preuve, un paquet de français sont signés à l’étranger et même si c’est pas ta (notre) came, le premier jeu joué sur Facebook (par exemple) est un jeu français. Et il y a des trucs qui cartonnent gentiment tous les ans comme Le tour de France. Au niveau européen, Terra Battle (par exemple) a été signé par un tout petit éditeur français.
    Après, oui, en France, nous n’avons pas trop la culture du blockbuster (même pas en cinéma) parce que nous n’avons – de toute évidence – pas les moyens et que certains créateurs n’ont absolument pas envie de mettre le pied dans un engrenage qui les prive de liberté créative.
    Bref, tu dis n’importe quoi par ignorance et parce que ton avis est formaté sur ce que tu connais. C’est à dire pas grand chose sur le jeu vidéo français en tout cas.

    Ceci dit, je t’accorde une chose : oui, en France, les gens sont trop « intellectuels » (et/ou prout prout ; et/ou roots) et manque de cette culture « mainstream » qui permet de faire bouffer de la merde aux gens en s’en lavant les mains.

      Hi Jay,
      Hum… En fait, j’ai pas l’impression d’avoir beaucoup de copains intello ! 😉
      Moi, j’aurais plutôt dit qu’on arrive pas à prendre les joueurs pour aussi crétins qu’ils le sont !

    Par contre, Ok, d’accord, y’a 1 ou 2 prout prout et de nombreux roots ! ;-))

    Formaté par ce que j’en connais ? Évidemment que c’est le cas. Je suis les sorties jeux vidéo depuis 5/7ans et je n’ai rien vu de parlant qui soit sortie du cerveau des français. Des jeux mobiles, des trucs de moindre ambitions créatives, des petits délires mal finis et pas très interessant (fuel overdose par exemple…). Et c’est quasiment toujours comme ça. C’est pas comme ça que l’image des français va reluire à l’international ou que nous allons inspirer des jeunes développeurs français à se lancer dans des trucs qui défoncent.

    Thierry > Quand je dis intellos, j’établis une comparaison avec les collègues de l’autre côté de l’Atlantique, si tu vois ce que je veux dire 🙂
    Nameo > Oui c’est bien ce que je dis. Tu regardes pas au bon endroit et tu es un pur produit lecteur de la presse de merde de ces dernières années. 5/7 ans. Ca correspond.
    Et je peux te dire que contrairement à ce que tu penses, les français brillent énormément à l’étranger par leur formation, leur bagout et euh… leur bagage culturel. C’est juste dommage que la France ne leur donne pas leur chance ou ne comprennent pas le nombre de pépites qui en sort. Le problème n’est pas former (pour ça, nous sommes champion) mais retenir.
    Et je t’en veux pas hein, l’ignorance est le défaut le plus pardonnable. Le tout est de le reconnaître.

    Tartine au beurre

    La vache ! au bout d’une heure j’en peux déjà plus, l’impression d’une éternité aux enfers à entendre un diablotin répéter inlassablement « polygone polygone polygone polygone polygone dark dark dark polygone polygone ».

    Navré mais c’est la première fois que je ne me sens pas « parmi » les Tauliers.

    Peut-être les deux heures suivantes sont super méga intéressantes mais là j’arrête.

    Non il ne s’agit aucunement d’une attaque envers Frédérick Raynal ou son « œuvre » passée, simplement en écoutant ce podcast j’attends autre chose, du débat, des informations, anecdotes, de l’analyse, et un joyeux bordel relativement construit autour d’une ligne directrice helvète.

    En fait je croyais qu’il serait en renfort de l’équipe, plutôt qu’en fétiche.

    Bref… à aborder dans un état esprit différent des autres émissions alcoolisées.

    Jay… Le problème, c’est que le « mainstream » dont tu parles, bien, il est beaucoup de l’autre côté de l’Atlantique !!! Faudra que je te fasse lire les retours d’un Play Tests de Big Fish pour que tu comprennes bien ce que je veux dire ! 😮
    Et le fait qu’on arrive pas à se mettre à leur niveau est une réalité… Ca ne veut pas dire effectivement qu’on fait que des jeux intello ! Quoique Blocks That Matter… 🙂

    Nameo > Si, si, je t’assure la création française se porte plutôt pas mal et fait des jeux top… En regardant le trailer des Ping Awards 2014, j’en suis même resté bouche bée !!! 🙂
    Bon, ok, c’était sur un écran géant, mais…

    Si je suis si ignorant, faîtes briller vos connaissances. Plus que des paroles ou des écrits, montrez moi les dits jeux français supers et sois disant ignorés par la presse dont j’ignore l’existence ? Et merci tartine au beurre, on ressent à peu près la même chose mais sur differents aspects. J’espère au moins que le jour où on recevra David Gruttola, les tauliers lui diront ce que NOUS, français joueurs pensons de ses productions, de son état d’esprit, de son melon ect… Encore que finalement, je pense que le pire pour les dev français, c’est qu’on a beau le critiquer hard (je le déteste perso) le mec est quand même moins responsable de l’état du jv français que les autres. Lui au moins il réussit à décrocher des contrats et – à raison qui m’échappe – semble respecté dans certaines sphères.

    Tartine au beurre > Je comprends. Tu écouteras la suite un autre jour mais tu verras que les choses se rééquilibrent rapidement. On allait pas lui dire « ta gueule, on en a rien à foutre » alors que 1) c’est faux, 2) il a crée le genre dont on parle, 3) il déborde de plein de choses et ça m’a -personnellement j’entends – fait plaisir de lui offrir cette possibilité.
    Mais je peux comprendre que ça peut irriter. Ecoute la suite (ou pas) et on en reparle.
    Thierry > Quand tu veux. Tu me connais, je ne demande qu’à apprendre/découvrir.
    Nameo > Finalement, t’es un gros con bouffé de certitudes et tu dis de la merde. J’ai été patient, je t’ai cité des exemples. Tu veux rester la tête dans ton fion, grand bien te fasse. Je vais arrêter de perdre mon temps avec des têtes de con de ton espèce. Vous vous rendez pas compte en fait à QUEL POINT vous êtes constamment à côté de la plaque, c’est vraiment ultra violent pour des gens dont c’est le métier mais vraiment. Et parle mieux à Thierry, ce type se bats depuis avant que tu sois dans les couilles de ton père pour que le jeu vidéo existe dans ce pays et établir des passerelles avec d’autres pays ; soutenir la création indé etc.
    Bref, ta gueule.

    Cycling manager et le jeu android ? C’est ça tes exemples ? C’est toi qu’est aveuglé par ton chauvinisme garçon. Moi je te cite Don’t Starve, Flower, Portal, Hotline Miami, Fez, de don côté tu me sors des exemples à la con de jeux dont presque tout le monde à honte. Cycling manager, sérieusement ? Excel et farming simulator tant qu’on y est aussi non ?

    Et qu’il se batte ou pas le thierry, moi je n’en ai rien à faire, c’est le résultat que je constate. D’ailleurs le constat est même encore plus triste lorsqu’on apprend qu’il y a des gens qui se battent pour en arriver… là.

    On se fait éclater par les japonais, éclater par les américains, éclater par les britanniques et par pleins de studios européens. Même pendant le gros déclin des japonais pendant la gen PS360 on se faisait éclater, même là il faisait mieux que nous. Faut se sortir les yeux du gland à un moment donné mon petit Jay, sur la scène du gaming dont on peut être fiers, nous sommes mort depuis très longtemps. C’est tout. Magnifique façon d’esquiver la question des exemples pertinents (en tout cas plus pertinents que les exemples précédemment sortis) en tout cas, je te pensais plus combatif que ça.

      Jordan Belfort

      Moi, j’aimerais bien savoir d’où tu parles.

      Serieux. Ta gueule.
      Tu racontes n’imp’.
      T’es aveuglé par ton souhait de créations franco-francaise et quand on te balance des exemples, tu dénigres en disant que c’est pas des jeux.
      Jay t’a déjà expliqué que c’est pas parce que les français ne font pas de blockbuster tout seul dans leur pays qu’ils ne sont pas reconnu dans la profession.
      Rappelle moi qui est le boss de Naughty Dog. Rappelle moi où se trouve Arkane Studio. Rappelle moi qui est Michel Ancel. Connais tu le Studio Pango ? Old Skull Games qui à bossé avec Namco ? Ou encore DontNod ? Et ça c’est les plus visible pour ceux qui savent à peu près où regarder (pas toi, donc).
      Après, t’as tout les mecs de l’ombre dont tu ne soupçonnes même pas l’existence. Des mecs comme Thierry, tiens, par exemple.
      Qui font beaucoup plus pour le JV que ta petite personne de petit caca random bercé par le prout d’une certaine presse.
      90% de mes collègues sont francais, 100% inconnu par les troufions de ton espèce.
      Rien à branler de pas faire du Fez. Crois moi que Phil Fish aurait préférer ne pas se prendre toute cette popularité dans la gueule. Ca lui aurait évité de se taper tes clones.

      Qu’est ce que ça peut te foutre si les studios français ne font pas les types de prods que toi, pauvre joueurs lambda de merde, aimerais qu’ils fassent ? Ca t’empèche de mesurer ton kiki avec tes copains « gamers » amerloques ? T’as honte ? Tout les exemples donnés sont des succès, et je parle pas de ventes ou de Metacritic, hein. Je parle de reconnaissance dans le milieu de pro qui est le notre.

      Donc si t’es cro triste que tes copains d’internet y se moque de toi dans une langue pas pareil, tu te sors les doigts du cul, tu glisse jusqu’à tes couilles, tu sers bien fort et tu les montres à ton banquier.

      Juste une chose, y’en a plein qui ont essayé et qui se sont fait éclaté à cause de petits Nameo.
      Et maintenant, ils font des super jeux android.

    Excellente émission comme d’habitude!

    Merci à toute l’équipe pour avoir parlé de ce sujet, et vivement la sortie de 2Dark!

    Sinon, y’a un bouton « répondre » pour répondre aux commentaires auxquels vous voulez répondre. Internet, c’est trop MODERNE.

    #DictateurDeLOrdreParceQuePutainSérieuxOnEstEn2014etPasSurUnPutainDeMinitelBordelACul

    Nameo > Combatif de quoi espèce de trou de balle. Tu te regardes écrire et tu t’écoutes parler alors que de toute évidence ta vision du jeu vidéo est biaisée par toute la merde que tu peux lire. Tu as la conviction d’avoir raison, très bien. Reste avec tes certitudes mais tu dis de la merde car tu ne sais pas de quoi tu parles.

    On se fait éclater comment par les ricains et les japonais ? Dans quel sens ? Au niveau artistique parce que tu es formaté depuis que tu es sorti du trou de ta mère pour relayer ce qu’on a envie que tu consommes ?

    Puisque tu joues le malin avec tes exemples à la con. Don’t Starve, c’est de la merde. Flower c’est un jeu produit par Sony tête de con. Portal par ValVe et ça vient d’un projet étudiant de l’école de jeux vidéo la plus riche au monde. Hotline Miami c’est du sous Loaded mais vous pouvez pas connaître parce que vous êtes des jeunes connards qui pensent que les indés ont tout inventé alors que ce ne sont bien souvent que des simulacres d’anciennes gloires (en moins bien). Fez, c’est pourri au dernier degré.
    Vous avez vraiment des goûts de chiotte. Puissance 10 000.

    En parlant de jeux français, puisque tu veux des noms.
    – Criminal Case, premier jeu joué sur Facebook devant Farmville.
    – Endless Legend, meilleur jeu de stratégie.
    – DeadCore, un putain de platformer 3D signé par Namco Bandai
    – Styx, l’un des meilleurs jeux de l’année
    – Remember Me et bientôt Life is Strange signés respectivement par Capcom et Square Enix
    – Anarcute (un jeu d’étudiant qui vient d’être signé par Microsoft)
    – Syberia 3 qui va sans doute mettre une droite au niveau profondeur à bien des jeux d’aventure, Tim Schafer compris.
    – Un paquet de simulations dont tu n’as rien à branler (moi non plus) mais qui marchent très bien.
    – Zodiac, un jeu avec Sakimoto à la musique et Nojima au scénario
    – On va rappeler également que Ubisoft est un studio français. Au passage.
    Donc quand tu te branleras sur Assassin’s Creed Unity, tu te rappelleras qu’à la base, cette boite est française. Quand tes copines te parleront de Just Dance (même si ça te fait honte), tu te rappelleras que c’est développé à Montreuil ou quand tu te réjouiras de l’arrivée de BGE2 ou du prochain jeu d’Ancel, tu te souviendras que c’est fait à Montpellier.

    Donc après, si tu as honte d’être français. C’est ton problème hein. En attendant, je t’engage à prendre ton bras, t’asseoir dessus et fermer ta grande gueule. On a que trop supporté ton mépris.

      Le mépris, c’est archi relatif hein papy jay. Il n’y a pas de mépris, juste un constat de fait. Si je trouve que les studios français font de la merde, je ne vais pas le dire autrement. La langue de mois et le nettoyage d’anus ne m’interessent pas. Et je crois que toi non plus d’ailleurs.

      Sinon, c’est ça tes exemples ? Je n’ai pas vu beaucoup de jeux dont on peut être fier. Styx peut être, qui puisse donner envie à des français de se lancer. Le reste ça oscille entre « jeu dont tout le monde se fou », « jeu de merde pur et dur » (remember me) ou jeu alimentaire (criminal case).

      Mais au moins t’en as cité, les gens pourront se faire leur propre avis.

      Pour Portal et Valve, on s’en bas les couilles de qui les a produit trou du cul. Reste que c’est des jeux à budget modeste fait par des petites team. Le fait qu’il y ait un gros de l’industrie derrière te facilite la démarche pour les foutre de côté, reste que c’est des exemples à suivre à tous les niveaux, qu’ils sont universels, qu’ils changent du reste et qu’ils ont rencontré un franc succès chez un peu tout le monde.

      Marrant de voir un putain de fan de Final Fantasy me dire que Hotline Miami, Don’t starve et Fez c’est de la merde, marrant. Meilleur blague de l’année. Parce que Final Fantasy c’est pas du fromage formaté hein ? Crédibilité 0.

        Ah mais nous sommes parfaitement d’accord, si tu penses que, tu peux continuer à le penser. On en aura toujours rien à branler. C’est ton avis face à des faits.

        Je ne suis pas pour la langue de bois. Je t’explique comment ça se passe, c’est tout. J’ai pas dit – pour autant – que j’étais fan des jeux à la française. Je pense juste que ça se respecte un peu plus que ce que tu fais… surtout vu les exemples merdiques que tu cites et qui ont à chaque fois un lien avec un gros industriel (ou presque) ou sont des simulacres peu inspirés de jeux auxquels tu n’as – probablement – jamais touché.

        Pour ton info, les « jeux dont tout le monde se fout » ; certains sont joués par des centaines de milliers de personnes. Ah c’est sûr que ça touche pas forcément le million mais tout est relatif. Ca coûte bien moins d’argent donc c’est plus rentable au final.

        Mais bon, tu as un vrai problème pour relativiser. Donc on va prendre ton exemple de Portal.

        Lorsqu’un jeu étudiant ou indé, quel qu’il soit est « porté » par ValVe c’est pas « faciliter les démarches », c’est derechef toucher des millions de personnes en un claquement de doigts parce que le pays et surtout le support.
        Donc une fois de plus, tu es à côté de la plaque.

        Après, oui, c’est un exemple à suivre. Donner la chance à des étudiants/développeurs de tout poil et les moyens de faire ce qu’ils ont dans la tête. C’est là que la bât-blesse, c’est ce que je dis depuis le départ. C’est dommage que la France laisse partir ses enfants prodiges.

        La question n’est donc pas de savoir si les français sont nuls mais pourquoi ils se cassent. Et là, on va en arriver au chapitre mondialisation.

        Enfin, je t’arrête tout de suite sur ta tentative de taunt sur Final Fantasy. 1) Des gens bien plus pertinents que toi essayent (mais échouent), 2) c’est pas en me citant des low tiers que tu vas réussir à convaincre qui que ce soit.

        Donc au final, on en revient toujours à la même chose : vous avez la conviction d’avoir raison en vous basant sur une connaissance de merde ; vous voulez un jeu vidéo formaté par des années de merde ingurgitée et vous le revendiquez fièrement avec vos trois poils aux couilles.

        Ca commence à devenir lassant que n’importe quel random puisse s’afficher avec autant de véhémence.

          Hotline Miami est un simulacre de Loaded en peu inspiré ? Mais tu es sérieux Jay ? Hotline Miami serait sorti avant Loaded, PERSONNE n’aurait jamais eu outrecuidance de parler de LOADED. Les créateurs ne l’auraient même pas sorti tant il fait pal figure à côté. Je l’ai fais Loaded, mise à part le fait que tu tires et le fait que se soit du top down, ça n’a rien à voir. Hotline Miami est mieux pensé en level design, mieux fini au niveau technique, plus osé et la direction artistique est 100 fois mieux maitrisé. Je t’accorde que Hotline Miami, comme pas mal de trucs que je t’ai cité sont majoritairement des exercices de style. Mais des exercices de styles qui explosent allégrement les sources dont ils sont inspirés. Loaded, serait sorti en 2013, il aurait flop et se serait fait déchirer par les critiques spécialisés ET les critiques independantes. Hotline Miami a contenté tout le monde, même les hardcore.

          Fez idem. Super Mario 2D est une honte aujourd’hui, un moustachu italien qui part sauver une princesse ? A part le core gameplay et le level design, il ne reste RIEN du jeu aujourd’hui. Et je n’irai même pas parler des autre plateformer qui ont sacrement mal vieilli et où tu pourrai resumer le truc à aller de droite à gauche. Fez a dépoussiérer un genre qu’on croyait enterré. Fez serait sorti avant Mario, on aurait tous crié au génie. Et même aujourd’hui, reste un des rares excellents plateformer qui te poussent à réfléchir. J’en ai fais pourtant : Super Metroid, le pitoyable Limbo, le correct Guacamelee, le surcôté SOTN… Ce sont juste des jeux d’imbécile, même si j’ai bien aimé Guacamelee ça reste un jeu de con. Ce que n’est certainement pas FEZ, et même si Fish est le champion de la polémique, il a juste sorti une pépite. Essaye de finir Fez, et on en reparle. Je suis sur que tu n’y a jamais joué pour le traiter de merde. Et encore une fois, FEZ est un jeu universel. C’est un truc que tu peux vendre à n’importe qui avec une chance ENORME de les interesser à des jeux plus hardcore. Une belle introduction au jeu vidéo si tu veux. Une prouesse dont ne peut certainement plus se vanter super mario, ni les jeux que tu m’as cité.

          Mais tu vois, j’étais sur qu’on allait y arriver à la mondialisation/la France ne soutient pas assez bla bla. Tout le monde sort cet argument pour justifier le niveau de la france dans le jv alors que pour moi, le problème il est double. D’un côté, tu as des créatifs qui réagissent exactement comme tout « créateur économicus » et qui dégage du pays pour se faire quelques euros en plus par mois. Véridique, j’en connais pleins de créatifs qui se barrent parce qu’ailleurs ils touchent 200 euros de plus par mois qu’en France. Résultat : Il finisse dans des gros studios à design des tonneaux pour Assassin’s creed ou des chaussures dans Fifa. Et de l’autre, tu as ceux qui restent (pas parce que c’est des warrior FR, mais parce qu’on ne veut pas d’eux ailleurs majoritairement) et qui finissent par nous pondre des trucs mal finis/mal pensés dès le départ. En clair, ceux qui restent – et qui « portent » aujourd’hui le jv français – sont des mecs aux rabais qu’on ne veut pas ailleurs qu’en France. D’où le niveau actuel et le fait qu’on se fasse éclater comme ça à tous les niveaux.

          Et concernant FF, nul besoin de sortir un pavé ou d’être pertinent, ces jeux sont une honte. Il n’y a guère que le 6 à qui je veux bien donner un peu de crédit, le reste c’est de la merde en boite. C’est chiant à jouer, beaucoup mais alors beaucoup trop étalé sur la longueur de jeu, mal écris et mal scénarisé, honteux dans la mise en scène… Ce sont des jeux qui ont réussi à accrocher des gens qui n’avaient que ça à faire de passer 30 minutes à appuyer sur X pour défaire un boss. Bref en somme, des jeux qui ont profité du fait qu’il n’y avait rien d’autre de grandiloquent en face à cause du palier technique des anciennes consoles de l’époque. Ce n’était même pas une tentative de taunt, mais venir qualifier la vague indépendantes de 2013 comme de la merde en étant fan de FF, c’est juste une très grosse blague. Là, c’est dur de s’étaler, mais un jour si t’as le temps et un peu de courage on en parlera de vive voix sur un de MES podcast et on verra si tu as de quoi défendre FF par rapport aux jeux que je t’ai cité.

            Ce que tu dis au sujet de Hotline Miami et de FEZ est juste mais le détail est précisément qu’ils ne SONT PAS sortis avant les jeux cités. Et c’est pour cette raison précise que ton raisonnement ne tient pas debout à moins que les mecs n’aient aucune culture du jeu vidéo et réussissent chacun dans leur coin à s’interroger sur les bases qui ont été posées bien avant eux.
            Par ailleurs, ce que tu dis sur Mario est d’une stupidité alarmante mais on ne va pas épiloguer.

            Concernant ton laïus sur les créateurs français, c’est partiellement vrai également. Oui, les gens se barrent pour gagner plus d’argent et non, ils ne deviennent pas des créateurs d’objets ou alors on connait pas les mêmes.
            Pour le reste, je réitère, c’est du mépris. Simplement du mépris. Partant de ce postulat, j’ai déjà dit ce que j’avais à dire.

            Concernant FF, crois-moi, des gens bien plus inspirés que toi ont essayé, avant toi, de m’expliquer combien cette série était merdique mais bizarrement, personne n’a jamais eu d’arguments. Si le tien est « passer 30 minutes à appuyer sur X » c’est que tu as effectivement rien compris à FF.

            Maintenant, si ta came c’est « la vague d’indépendants en 2013 », c’est ton problème une fois de plus. L’établir en parangon du jeu vidéo actuel est imbécile mais j’ai parfaitement compris à qui j’ai à affaire donc on peut continuer la discussion longtemps que ce serait une perte de temps. Ni plus, ni moins.

            Et si tu veux m’inviter dans un de tes podcasts, rien ne t’oblige à déployer autant d’énergie pour avoir mon attention, suffisait de commencer par ça.

      Endless Legend c’est un simulacre de jeu qui a existé avant au passage. Donc c’est de la merde.

    De gauche à droite ou de droite à gauche*

    La Tartine Beurrée

    Seconde écoute, nouvelle stratégie d’approche furtive, considérer chaque intervention de Frédérick Raynal comme une interview. Ça passe mieux.

    J’ai l’impression, peut-être fausse, qu’il n’est pas au courant du format des Tauliers. De fait il part dans son monde, ses histoires. Ça doit aussi venir de sa semaine PGW où je suppose qu’il a enchaîné les interventions, discours.

    En soit c’est intéressant, mais je fais partie des gens détestables qui aiment leurs habitudes et les choses cadrées.
    Une demi-heure / une heure à discuter, échanger avec lui autour de son travail et ses expériences, puis le déroulé « normal » de l’émission toujours en sa présence mais exclusivement pour rebondir sur le sujet en cours, plutôt que repartir ailleurs (là encore à mon avis il doit y avoir l’influence PGW ou la routine des interviews presse / fans).
    Au final on retrouve des morceaux d’invité un peu partout, embêtant autant pour ceux désirant connaître cette figure emblématique que les gens voulant exclusivement le thème.
    Résumé de mon propre ressenti personnel subjectif à moi : dur à suivre

    J’écoute en travaillant ou en vaquant à mes occupations quotidiennes, là je vous avoue m’être égaré à plusieurs reprises.

    Outre ma détestation de ce genre de « financement participatif » je note une demande raisonnable contrairement à ce que l’on a pu voir ailleurs, chez d’autres « grands noms ». Paradoxalement en se situant entre deux eaux, à savoir les p’tits overhyped à 2.000€ qui reçoivent 50k et les machins à 200.000€ qui stoppent à 10%, ils prennent un sacré risque sans pouvoir se faire élire à Pau.

    Conversation sur les zombies : exact, je trouve cela pathétique au sens triste du terme, je n’ai jamais goûté cette mode, ça ne m’amuse pas, ni ne m’effraie d’ailleurs, je comprends le besoin de ce retour aux sources, comme les trucs de chasseurs de fantômes, mais ça m’inquiète. À quel point les gens sont-ils « déconnectés » de la vie pour avoir telle nécessité de s’y rappeler par la mort.

    2h02m19s : Pourquoi Inks ? Pourquoi ? Noooooooooon !
    C’est pas méchant mais il dérive trois minutes en plein milieu de la discussion et ça me paume. Comme vous êtes bien élevés personne ne tente d’abréger sa noyade expliquative. Ou alors incorporez-le, Fox on s’habitue à force, dès qu’il parle je jette l’ancre, affale les voiles et m’attache au mât.

    Alan Wake : aventure agréable, piètre jeu, en le parcourant on sent que les concepteurs, développeurs, illustrateurs, ont aimé travailler sur le projet, et qu’à un moment ils ont dû se réveiller avec la gueule de bois, une pile de facture dans la boîte aux lettres et l’huisseur éditeur aux fesses
    Je ne connais pas l’histoire de son développement chaotique, est-ce vraiment la faute du studio ou plutôt la commande qui a changé au gré des vents (et des trucs qu’on voulait vendre avec).

    Amnesia à ma première mort c’était terminé, adieu l’immersion. J’ai continué péniblement, essayant de m’y replonger. C’est devenu purement glauque donc au revoir.

    Alien Isolation c’est vraiment bien pour qui est nostalique des films de cette époque. En-dehors de ça très répétitif, des personnages marionettes façon Bioshock Infinite, pour moi il ne peut y avoir que deux réactions, youpi génial j’le lache plus, et pouah c’est naze ton truc.

    J’ai vraiment apprécié le derniers tiers d’émission, la pertinence des interventions, le calme revenu, enfin le calme taulieresque.
    Et Frédérick en voix de la sagesse s’interposant courageusement pendant qu’Inks compte son or.

    7 personnes c’est beaucoup, en y réfléchissant je me dis que ça doit jouer dans mon avis.

    Ma plus grande peur vidéoludique : voir le contraste de ma Gameboy vaciller quand je parvenais à la fin d’un jeu sans sauvegarde ou que j’allais surpasser mon meilleur score (cruelle torture alcaline)

      Donc oui, c’est vrai que c’était un peu bordélique et qu’il a été nécessaire de laisser à notre invité le temps de prendre ses marques mais tu vois, finalement.

    Numéro encore une fois de qualité ! Coup de chapeau pour avoir invité Frédérick Raynal, son discours était intéressant sur ses jeux, et le fait d’avoir un créateur parmi les intervenants du podcast permettait d’avoir des infos et des anecdotes passionnantes.

    Je reviens juste sur un moment du podcast où vous avez évoqué Dead Space et Alien : Isolation. Ces deux jeux m’ont rappelé System Shock 2, dont l’action se déroulait également dans l’espace. Je ne me rappelle plus si ce jeu est considéré comme un survival-horror, mais ce jeu possédait une atmosphère très tendue et l’ambiance sonore était stressante. Bien sûr vous n’alliez pas citer tous les survival-horror, mais il me semble intéressant d’en parler car il empruntait une vue FPS et un univers spatial.

    Bonne continuation pour la suite ! (Sinon ça fait toujours plaisir d’entendre Jay parler du cycle d’Hypérion, une œuvre que j’adore).

      Oui d’ailleurs j’en profite que tu parles de Jay et de l’Hyperion pour dire que même si on s’accroche, moi c’est majoritairement pour les interventions de Jay que je regarde les tauliers. On a clairement pas la même vision du jeu vidéo, mais c’est quelqu’un que j’aime écouter. Voilà, je voulais préciser pour les deux trois trou du cul qui ont envoyé des mails sur le site pour dire qu’il voulait que Jay bouge des tauliers. Moi sans Jay, je ne regarde plus les tauliers. C’est dit, même si c’est un trou du cul =P

    Bon podcast. Les monologues de Frédérick Raynal ne m’ont pas dérangé plus que ça, même si ça m’a fait bizarre de réaliser qu’il ne connaissait quedalle au jeu vidéo d’horreur moderne.
    Autre truc : quand Jay essaie de descendre Dead Space, ses arguments ne tiennent pas la route 2 secondes. On sent qu’il essaie de troller car il n’a pas aimé le jeu pour une raison X ou Y, mais même lui ne semble pas croire à ce qu’il raconte.
    Je ne dis pas que Dead Space est le plus grand survival horror de tous les temps, loin de là, mais cela reste indéniablement un bon jeu qui fou les chocottes, et j’ai l’impression qu’avec Jay, tout est blanc ou noir. Il n’y a pas de nuances de gris entre les 2 extrêmes. Son avis sur Dead Space est d’autant plus étonnant qu’il avait encensé Resident Evil 6 à sa sortie, jeu bancal et mal fichu s’il en est. Mais vu que tout le monde chiait sur ce jeu dans la presse, il fallait bien qu’il se démarque de la masse et qu’il dise que ce jeu déchire sa race… Dans un sens, c’est pour ce genre d’argumentaires puant la mauvaise foi qu’on aime bien l’écouter, non ? 😉

      Rien à voir. RE6 est un jeu débile et hyper fun. Dead Space est un jeu malhonnête et qui se prend au sérieux. C’est juste pas la même chose. Et je n’ai pas voulu me « démarquer », je me suis juste bien marré même si, oui, le jeu est loin d’être parfait. Et tout le monde « chiait » dessus parce que tout le monde est stupide. Que le jeu japonais ne fait plus recette et que tout le monde a reproché exactement les mêmes points qu’à RE4 à l’époque de sa sortie. Une histoire cyclique…
      Et non, Dead Space ne fait pas peur. Vous êtes des tarlouzes, c’est tout.

        RE4 est super carré à tous les niveaux (merci Mikami). La jouabilité a pris un coup de vieux, mais à l’époque, on ne faisait pas mieux en terme de blockbuster semi-horrifique.
        RE6 est bancal (caméra, jouabilité, manque de choix clair de la part des développeurs).
        D’un côté, on a jeu qui sait où il va, quitte à déplaire aux fans de la première heure, et de l’autre, on a une espèce de patchwork foireux qui essaie de plaire à différentes catégories de joueurs, et qui se plante lamentablement à chaque fois. Qu’on ne me dise pas que la partie de Léon est dans la lignée des premiers RE, ça n’a juste rien à voir, et c’est une insulte à la saga RE que de les comparer (idem pour le très moyen RE Revelations qui se révèle fade au possible).
        Perso, je trouve ça inconcevable qu’un jeu avec un budget pharaonique puisse être aussi mal ficelé que RE6, et pourtant, je peux te dire que la saga RE me fascine toujours autant qu’il y a 15 ans. Capcom me donne l’impression d’être complètement perdu et de ne pas savoir quoi faire de sa licence (un peu comme SEGA avec Sonic en quelque sorte). Dans un sens, c’est super triste, car ils sont en train de détruire épisode après épisode l’une des plus belles licences du jeu vidéo.

        Sinon, je ne vois pas en quoi Dead Space est malhonnête. En gros, ils font du Alien en vue TPS sans avoir officiellement la licence. Certains diront que c’est un hommage, d’autres crieront au plagiat : tout dépend du fait qu’ils soient fans du film ou pas. Franchement, que le héros soit un ingénieur, tu ne trouves pas ça plus original qu’un énième soldat d’élite armé jusqu’aux dents ou un père qui a perdu sa fille ou sa femme ? Le fait qu’Isaac ne dise pas un mot de l’aventure nous permettait d’avoir de l’empathie à son égard, tu ne trouves pas ? Enfin, le sound design est incroyable, et j’ai franchement du mal à croire que tu n’aies pas frissonné lors de ta première partie lorsque tu te retrouves quasiment sans armes face aux premiers nécromorphes. Et tu ne me feras pas non plus croire que la scène où le mec se tape le crâne contre un mur t’a laissé de marbre lors de ton premier run. Comme je l’ai dit précédemment, Dead Space n’est pas parfait : son scénario est moyen, et le jeu s’avère répétitif sur la longueur. Mais à côté de RE5, RE6 ou RER, c’est presque un chef d’œuvre de l’horreur.

    Super épisode ! Super cool d’entendre un Frédérick Raynal hyper enthousiaste comme ça ! Comme c’est très intéressant de comprendre que même si les créateurs de jeux sont souvent des joueurs il est difficile de rester objectif et de passer du côté joueur sans a priori sur les ficelles intrinsèques du jeu. Vraiment vraiment cool podcast, qui m’a donné envie de découvrir certains titres alors que je suis quelqu’un qui déteste le genre horreur. Au passage, très bel essai de Frédérick à certains moments de vouloir faire le médiateur dans un groupe de Tauliers habitués aux avis plutôt tranchés. Changez rien vous êtes géniaux.

    Matt Stryker

    Dégoûté de pas avoir écouté en direct, j’aurais bien aimé connaître votre avis sur Condemned et FEAR ^^
    Bisous

    Julien > Bizarre, je recrute jamais bourré (même pour des publications mortes). Je me souviens pas.

    Ce qui m’a énormément plu, c’est d’avoir la voix directe d’un créateur, et non d’un « performer » comme le sont trop souvent (aujourd’hui) les grands noms du jeu. L’avis d’un Raynal qui connaît le côte développement, réalisation, et donc production finale d’un jeu est autrement plus intéressant que le propos d’un type lambda qui dirige une équipe de X personnes.

    A côté de ça: tout ce qui touche à l’horreur a été très tôt exploité par les JV… je trouve un peu dommage (mais compréhensible) qu’on n’ait pas plus abordé les vénérables ancêtres. Typiquement, la forme actuelle des jeux « d’horreur » est plus liée à l’héritage commun de alone in the dark et RE, qu’à d’autres jeux plus anciens.
    Je reprends un peu ce que j’ai dit durant le podcast:
    – les dungeons crawlers sans musique, où tout s’appuyait sur les sons et l’ambiance (Dungeon master!!!)
    – Les point and click vaguement abordés… mais délaissés puisqu’il n’y a quasiment plus rien de ce côté malheureusement

    Mais là, c’est juste pour faire plaisir à Jibé qui est un nostalgique invétéré^^

    Sinon, juste une question toute bête, mais liée plus à la production du podcast, qu’à son aspect « talk ». Lorsqu’on aborde les jeux comme les survival horror, n’aurait-on pas gagné à parler aussi de la musique? Typiquement, la grande majorité des jeux d’ambiance ont une musique reconnaissable, et même parfois culte. Cela aurait pu être un agrément audio d’en avoir des extraits. Ceci dit… ne connaissant pas les règles et les problématiques des droits sur ces morceaux (illégalité notamment), je ne fais qu’une suggestion, et je peux tout à fait comprendre que sur un podcast aussi dense qu’il est alors compliqué de tout mettre dedans.

    Très sympa ce podcast, un grand merci à Frédéric pour sa disponibilité, ça fait bien plaisir.

    Pour ceux qui veulent (ré)essayer Little Big Adventure, il y a des promos dejeux français sur GOG en ce moment, le premier est gratuit et le second à 1,19€.

    http://www.gog.com/vivelafrance

    C’etait un excellent podcast ! Le sujet ne m’intéressait pas du tout mais j’ai écouté les 3h avec plaisir !

    Merci pour ce numéro 40 des Tauliers.

    Le jeu d’Horreur, un genre qui définit bien pour moi la relation amour-haine entre un joueur et un jeu. Comme Caféine, je suis une flipette et sans déconner, j’ai peur du noir. J’adore les survival horror mais pour moi, c’est toujours le même cycle : les commencer, les arrêter voire les désinstaller au bout d’une demi-heure, les reprendre plus tard, …
    Tout dépend pour moi du type de jeu. Amnesia The Dark Descent était génial, mais ma façon d’y jouer a en quelque sorte détruit l’expérience. C’est l’un des jeux où j’ai pu ressentir la puissance du combo quicksave-quickload. Du coup, terminer ce jeu avec des dizaines de morceaux d’amadou et je ne sais combien d’huile, je ne pense pas que c’était prévu par les développeurs. Cependant, ça reste un des meilleurs titres pour moi en tant que jeu basé sur une terreur psychologique.

    Quel dommage que certains titres soient passés à la trappe. Si vous aviez eu plus de temps (plus de 3h, c’est déjà suffisant), vous auriez pu citer les F.E.A.R. et les S.T.A.L.K.E.R.
    Pour les premiers, c’est désolant, ça suit le même chemin que Dead Space. Premier épisode réussi, deuxième orienté avec davantage d’action et troisième opus, en tout cas pour moi, raté. Les F.E.A.R. sont pour moi la preuve que l’action et l’horreur peuvent coexister et que l’arsenal dont dispose un protagoniste n’est pas synonyme de toute puissance. Oui car F.E.A.R. 2 fait peur, pas Dead Space 2.
    Pour les deuxièmes, ma foi, c’est l’angoisse qui prime sur la peur viscérale. Toutefois, des open-world de ce calibre, c’est inégalé jusqu’ici.

    Concernant Dead Space, j’avoue rejoindre l’avis de Jay. C’est vrai qu’au bout d’une heure de jeu, je savais presque instinctivement par quel conduit arriveraient les nécromorphes et du coup, plus d’effet de surprise, source majeur de la peur dans cette série. Alors oui le sound design est excelent, de même que le jeu sur les lumières, mais une fois que l’on s’adapte à l’aspect graphique , le jeu est plus stressant qu’autre chose.

    Du coup, c’est plus la terreur psychologique qui fonctionne sur moi. Le jump scare a un côté répétitif et surtout très scripté qui le rend inefficace à mes yeux.
    Il y a des jeux comme Condemned, qui réussissent dans leur genre, même si un heros faible accentue l’impact de la peur ou en tout cas booste son apparition.

    Je n’ai pas eu le loisir de faire les Silent Hill et Resident Evil à l’époque, les parents étant à l’époque une sacrée douane.
    C’est Resident Evil 4 qui fut mon premier pas dans cette série. Plus de 500 heures de jeu dessus, ça fait de lui l’un de mes monuments vidéoludiques. J’avais beau connaître le jeu par coeur, je ne ressentais jamais d’ennui à le refaire. Mon seul regret, c’est l’impossibilité de pouvoir retrouver The blouson avec intérieur moumoutte une fois que l’on est mis KO.
    Resident Evil Revelations a rapporté aussi le côte claustrophobique, même si le jeu ne m’a fait ressentir aucune peur.
    Resident Evil 5 ? Bon défouloir pour moi, mais peur niveau 0. Quelle blague qu’au dos de la jaquette, on trouve « une peur que vous ne pourrez oublier ». Je l’ai toujour cherchée, jamais trouvée, merci le marketing.

    Alors oui j’ai été surpris de ne pas ressentir de peur sur ces nouveaux Resident Evil, mais avant d’acheter un jeu, je ne sais rien de lui. La plupart du temps, je ne veux rien savoir parce que les news ont une facheuse tendance à nous raconter le jeu avant d’y avoir jouer. Il n’y a que quelques jeux dont l’achat est obligatoire, style The Evil Within, où je peux écouter quelques informations sur le jeu sans me dire que ça biaisera l’expérience.

    Quand j’y pense, State of Decay est pour moi à la base un jeu d’horreur. Mais pour un distinguer un vrai jeu d’horreur d’un jeu utilisant des éléments horrifiques, je me base sur mon exaspération. J’angoisse de passer entre plusieurs zombies, mais une fois que l’un d’entre eux me mord, l’énervement annihile complètement le vague sentiment de peur instauré.
    Et effectivement passer de l’exploration seul à l’exploration collective, ça casse tout. Même si les coéquipiers sont fragiles, sentir une présence amicale à vos côtés réduit l’impact de l’environnement hostile.
    Est-ce qu’un bon jeu d’horreur doit passer par la solitude ?

    Concernant le jeu de l’invité, je l’achèterai, c’est certain. Quant à participer au financement, c’est difficile pour moi. Je ne donne jamais rien pour les early access, les pré-commandes ou les financements participatifs. Quitte à payer mon jeu plus cher que si je l’avais soutenu à son démarrage. Si le jeu est de qualité, payer le jeu plein pot n’est pas gênant en soit.
    Ca me fait penser d’ailleurs à Amy, un jeu créer par un autre français. Tout le monde dit que le jeu est mauvais, mais ayant déjà apprécié du jeu que d’autres n’aiment pas, ce n’est pas pour moi un argument plausible, chacun ses goûts. Diriger un camion benne n’est pas un défaut en soi pour ce genre de jeu. S’il sort sur PC, sans doute que je le prendrais.

    Mais c’est vrai que comme tout jeu, un jeu d’horreur doit être bien huilé pour plaire aux adeptes du genre. Par exemple, que pensez-vous de Dreadout, qui est au final moins bien réussi que les jeux à partir duquel il s’inspire grandement ? Reprendre le concept ne suffit pas. Il faut le fignoler, modeler une approche différente pour combler le fan tout en apportant une expérience différente qui ne donne pas dans le déjà vu.
    A ce titre, j’ai bien aimé Lone Survivor et Claire. Bien que le deuxième n’égale pas le premier, ces deux jeux font la part belle à la survie tant bien physique que psychologique où l’on ne sait pas si le monde devient fou ou si le protagoniste perd les pédales.
    De même, la série des Metro reprend un peu le concept des S.T.A.L.K.E.R. pour l’orienter dans une expérience plus couloiresque, mais tout aussi intense.

    Bonne continuation et gros bisous à mon Lindt préféré, au Bouclier d’Auvergne, au … psychorigide (la vengeance est un plat qui se mange froid Caf :D) et aux autres que mon manque d’imagination affligeant ne peut catégoriser.

    Nameo> Je vais prendre 2 minutes pour rajouter mon grain de sel.
    Dans l<industrie du jeu video francais on peut citer Ubisoft mais Jay l'a deja fait, donc je citerai Ankama qui sont evidemment des indés (qui s'editent eux meme) avec un enorme budget. Tu crois vraiment que les types de Fez et Hotline Miami font autant de chiffres? Ok tu peux discuter autant que tu veux que niveau creativité c'est nul, mais si les peluches et les mangas se vendent a Carrefour, si les emissions TV font de l'audience, si les jeux sont toujours rentables apres autant d'années, c'est peut etre que leur savoir faire est réél et que t'es pas leur cible?
    On peut aussi citer les mecs de Swing Swing Submarine pour Tetrobot recemment, ou Arkane pour Dishonored. Tu vas me dire que Dishonored c'est nul et n'apporte rien d'interessant? On peut aussi parler de Focus Home Interactive qui a edité la derniere serie de Sherlock Holmes et pas mal de jeux d'aventure comme Runaway. Bien sur que non le jeu video francais n'est pas mort : il a moins de visibilité parce que la France a moins la culture blockbuster et marketing de masse (et c'est pas forcement un bien pour se faire connaitre). Si tu crois que Ubisoft c'est nul, au moins eux, a defaut d'etre assez creatif a tes yeux, au moins ils creent de l'emploi. Rien qu'a Montpellier ils sont entre 250 et 300 personnes. Et chez Devolver Digital? S'ils arrivent a ce chiffre c'est un exploit. Alors si tu me dis le jeu video est mort en France, pourquoi il y a autant de personnes qui travaillent encore dedans? On peut bien sur parler de tous les studios qui ferment chaque années, mais dans ce cas parlons de tous ceux qui ouvrent aussi pour etre juste.
    Et etre exigeant aupres des createurs de jeu? Serieusement? Et on peut savoir qui tu es pour te permettre d'exiger quoi que ce soit de quelqu'un d'autre? Un consommateur qui se croit indispensable a la survie d'un autre etre humain? Parce que tu vois, si les createurs devaient effectivement rendre des comptes a leurs clients, on n'aurait jamais eu de Fez ou d'Hotline Miami, jeux chers a tes yeux. Les createurs ont des comptes a rendre a celui qui leur fait signer leur contrat, l'industrie du jeu se doit d'ECOUTER la masse de client pour continuer a vendre et rester rentable. Mais en aucun cas un client peut se permettre d'exiger, il peut au mieux suggerer.
    Je pense que Jay a raison : vaut mieux passer a autre chose.

    Sinon cette semaine c'est la 2e fois que j'entends mr Raynal (il etait dans le podcast ZQSD) et c'est plaisant de ne pas entendre les memes choses. Beau boulot !

      D’autant que ZQSD a été enregistré avant mais diffusé après publication de ce Tauliers. Magic in the air.

      tout à coup en te lisant, je me suis remémoré le désastre Doom III qui espérait coller la pétoche avec sa lampe torche (les connaisseurs apprécieront la blague du « Il ne sait pas se servir de scotch ce con?! »)… et qui mené à ce qu’on devine super facilement tous les rebondissements en cours de crawling dans les couloirs…

    Merci les gars !
    Merci pour l’émission, très très sympa à écouter et merci pour avoir invité Frédérick Raynal ! Quel pied que t’entendre s’exprimer le génial créateur du fabuleux Alone in the Dark (et du non moins superbe LBA – qui fut le 1er jeu que j’ai acheté au format CD-ROM). Quel plaisir de le voir revenir avec un jeu en préparation et de voir qu’il n’a rien perdu de son enthousiasme. Et que de souvenirs me sont revenus en l’écoutant !

    Merci aussi à SuperChno pour l’info sur le podcast de ZQSD (2 h d’interview de Frédérick Raynal et Thierry Platon), que j’ai commencé à écouter dans la foulée (pas encore tout écouté) et qui est tout aussi passionnant, et effectivement absolument pas redondant avec l’émission des Tauliers.

    Et pour ceux qui ont envie d’en savoir plus sur la création de Alone in the Dark, je ne peux que conseiller cette excellente vidéo de la Game Developpers Conférence 2012 : http://www.gdcvault.com/play/1015840/Classic-Game-Postmortem-Alone-in (attention, c’est en anglais, mais l’accent tellement français de Frédérick Raynal permet de le comprendre très facilement).

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