Les Tauliers #70

Quand les licences se renouvellent
Disponible depuis le

De retour pour une nouvelle saison, Les Tauliers se penchent sur les séries de jeux qui ont changé au fil des années : changements générationnels dans les équipes de développement (Mario Sunshine, Zelda : Breath of the Wild), quand le studio change (Interplay et Bethesda pour les Fallout) ou encore l’adaptation à l’air du temps (les trois mutations de la série Castlevania).

Cette émission est déconseillée aux mineurs.

Informations complémentaires

Envoyez vos questions pour le courrier des Tauliers à lestauliers@radiokawa.com

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  • Everlong, des Foo Fighters

Un mot sur l’émission

Les démons de RadioKawa se réunissent chaque mois pour célébrer (par les flammes) leur amour du jeu vidéo, de son histoire et de son industrie. Pour le meilleur et surtout pour le pire, Jay, Fox, Caféine, Alexleserveur et InkS ne se fixent aucune limite.
Les commentaires

    perso je bien pour écouté tout le monde mais surtout jay mème si c est un sale con. de temps en temps quand je fait du farming dans un rpg ça fait passer le temps de vous écouté bande de timbré

    un remaster est un portage amélioré, il est possible de rajouté des parti de jeux enlever aux jeux d origine par manque de temps

    un remake est un jeu refait tout en gardant l ossature.

    un reboot on garde le plus important et ont fait un autre jeu

    Fox : « Je ne peux pas jamais finir une phrase… »

    Si tu ne peux jamais finir tes phrases, c’est parce que tu fais de longues démonstrations de quelque chose que tu pourrais plier en 30 secondes, souvent sur des sujets que t’as du mal à porter seul. Savoir faire court à l’oral, c’est essentiel. En plus, t’essaies d’aller le plus vite possible, tu respires pas trop et on sent que tu pousses. On ne s’étale pas de vive-voix comme on peut le faire à l’écrit. T’as aussi une voix qui n’est pas entraînante (je te trouve pénible à l’oreille), là où je trouve que Jay et ALS sont plus « radiophoniques », donc on a peut-être tendance à moins vouloir les couper.

    Sur la voix, tu ne peux pas faire grand chose, c’est pas ta faute. Par contre, je te conseillerais de faire plus court à l’oral. Faut enlever le gras et essayer de faire moins « chronique ». Personnellement je suis là pour vous entendre parler de manière casu, à 4 ou 5, pas pour entendre un mec réciter un article wiki le plus vite possible sans respirer.

    Negroïde est un terme scientifique pour représenter une ethnie. Au même titre que Caucasoïde. Sauf que ces termes sont peu à peu classés politiquement incorrects, car ils ne desservent pas les intérêts de la superclasse économique : en gros, il est moins coûteux et plus facile de faire naître des restaurants MacDo standardisés sur toute la surface du globe si toutes les populations mondiales s’acceptent comme étant scrupuleusement identiques au reste de l’humanité. Et pour faire passer la pilule, on vous sert une bonne couche d’antiracisme dans vos médias quotidiens.

    Il est amusant, en vous écoutant, de vous voir tomber si facilement dans cet étrange paradoxe : dénoncer le politiquement correct, tout en y adhérant sans vous en rendre compte, dès qu’il sert l’idéologie dont on vous a pétris toute votre vie sans que vous en ayez conscience.

      ZEB, Si t’a pas compris, souligner l’ethnie d’un journaliste durant une interview sans que cela ai un rapport quelconque avec le sujet de cette rencontre et surtout pour lui rappeler qu’il soi-disant inférieure aux blancs, est raciste. C’est pas uniquement l’utilisation d’un mot qui énerve Caf.

      De plus, la science dont du fait référence date du 19ème siècle et est considérée comme incorrect par les scientifiques d’aujourd’hui car très enclins à décliner des race supérieure et autres inepties.

        Ok Mergo, donc j’ai deux questions pour toi.

        Quel était le sujet de l’interview ?

        Peux tu me citer le passage ou de Lesquen délcare que le journaliste est inférieur aux blancs ? (ou bien que l’ethnie à laquelle il appartient est inférieure aux blancs, c’est pareil).

      Franck (Fox)

      Il est aussi amusant de citer les travaux de Carleton Coon comme non politiquement corrects pour monter en épingle une réflexion de ce genre. Coon est toujours étudié en anthropologie moderne pour ses nombreux avancées et théories sur l’évolution de l’homme, mais le principal problème vient du détournement de ses termes taxonomiques mis au service d’idées politiques et d’idéologies racistes.

      Les phénotypes raciaux comme ceux cités par Henri de Lesquen ont été scientifiquement abandonnés dans les années 70 au profit d’une recherche génétique des origines des sous-espèces, laissant la raciologie née au XIXème siècle tomber dans l’oubli, sauf pour quelques rustres à l’esprit conspirationniste et mal dégrossi. Pourtant il ne se gène pas pour appuyer ses dires par le travail d’autres chercheurs comme Putnam, dont les travaux avaient pour but l’utilisation de ces derniers à des fins politiques.

      Il y une grande différence entre refuser le politiquement correct et se comporter comme un sombre ignorant croyant encore en une pureté raciale quelconque. Nous sommes peut-être des amuseurs publics à la gouaille développée, mais ce n’est pas pour autant que nous sommes des imbéciles n’ayant d’autre culture que celle des pixels.

      Pour terminer et l’exprimer dans des termes moins complexes, tu peux remballer tes idées et assertions de merde et te tirer d’ici, par ton ignorance crasse tu es bien plus l’esclave de maîtres à penser que nous ne le serons jamais.

      Bonne journée.

      Edit : @Mergo, Caf n’était pas là, c’est donc mes propos que tu as entendu. 🙂

        Si la science a changé de paradigme dans les années 70, et que tu m’expliques à demi-mot qu’elle s’est trompée, pourquoi le paradigme d’aujourd’hui serait-il le bon ? Puisque ce n’est qu’un paradigme qui sera dégagé lorsque le prochain viendra le remplacer ?

        Si de Lesquen fait d’après toi de la récupération politique de termes scientifiques, quelle preuve a t-on que les scientifiques dont on valide les thèses aujourd’hui ne créent pas eux-mêmes leurs paradigmes (ou sont mis en avant) à des fins politiques ?

        Je suis heureux de lire tes compléments d’informations, je ne t’ai jamais considéré comme un imbécile n’ayant d’autre culture que celle des pixels. Je te laisse donc seul responsable de tes propos… (il est criant que tu as quelque chose à régler au niveau de l’estime que te porte autrui. Tu t’es jeté sur moi et j’ai payé pour les autres : je ne t’en veux pas).

        Pour le reste, les noms d’oiseaux, le tampon de conspirationnisme pour jeter un discrédit en se basant sur que dalle, le « tes assertions de merde et tires toi d’ici », ça vole pas beaucoup plus haut que « ouin tu penses pas comme moi t’es qu’un vilain, va t-en! ». Bref. Pas terrible quoi.

        Mais c’est pas bien grave. Je suis content d’échanger avec toi, et même si je suis un peu attristé par l’agressivité de ton message, je te souhaite également une bonne journée ! Plein de bisous.

          Franck (Fox)

          – Pourquoi la science du XIXème siècle se serait trompée et pas celle d’aujourd’hui ?

          Je ne sais pas, parce qu’au XIXème la science était incapable de prouver le centième de ce que l’on peut prouver mathématiquement et scientifiquement aujourd’hui ? Parce que l’on pensait soigner des maladies mentales en enfonçant un pieux dans le cerveau pour un oui pour un non et que l’on s’asseyait sur toute la grandeur des empires de l’époque pour pointer une arrogance utile à une noblesse effrayée par le moindre changement ?

          À la même époque on vendait des remèdes à base de cocaïne et de belladone contre la toux, on pensait que les femmes étaient naturellement sujettes à la folie et on utilisait la morphine comme on s’enfile des M&M’s. Puis on a prouvé que ces « médicaments » étaient inopérants, inefficaces et/ou dangereux et que les approches de l’époque se basaient plus sur des certitude et des inventions que sur des recherches parce que la science, aidée par l’avancée de la technologie a pu concevoir des outils permettant d’apporter des preuves tangibles, des processus d’analyses clairs, et des résultats souvent irréfutables. C’est grâce à ça qu’on détecte un cancer, qu’on soigne un rhume ou qu’on permet aux malades chroniques d’avoir une vie plus simple.

          Il y a une grande différence entre l’époque des écrits de Coone et Putman et les décennies suivantes. Pour commencer, la cartographie du génome humain a définitivement supprimé les théories les plus farfelues en prouvant par A+B qu’il n’y avait pas de « races » mais simplement un ensemble d’humains que l’évolution génétique divise en sous-espèces, le sous précédent n’établissant pas de classement de valeur mais posant une base où chaque sous espèce est issue d’une espèce globale, l’homo sapiens.

          Partant des preuves – et j’appuie là dessus -, de Lesquen joue sur l’idée que « les cosmopolites » – un ordre flou de gens puissants mais invisibles qui tiennent les médias – désirent la mixité afin de nuire à la « race blanche » qu’il établit comme « bâtisseuse de civilisations » et « maîtresse des autres races ».

          De la data bien propre : https://www.youtube.com/watch?v=GWRDLo6XbCg

          Ce bon monsieur, nonobstant son ridicule évident, nie totalement d’autres preuves établies scientifiquement, celles des nombreuses civilisations nées tout autour du monde ou celles apportées par la science, notamment la génétique. Pour lui l’homme blanc est le seul conquérant, un être supérieur choisi non pas par la science mais par dieu lui-même. À partir de là, juger du tonneau du bonhomme ne prend pas plus de temps qu’il en faut pour renvoyer ses idées nauséabondes et ses croyances esclavagistes dans la fange d’où elles sont tirées.

          – En quoi les thèses actuelles ne créent pas eux-mêmes leurs paradigmes (ou sont mis en avant) à des fins politiques ?

          La science, dans sa forme moderne, n’est pas un outil de propagande, par contre elle et ses résultats peuvent être récupérés, déformés et détournés pour asseoir des idées, des méthodes ou se donner une contenance. Le cas actuel est par exemple très présent dans les actions de Donald Trump qui accuse tout ce qui ne va pas dans son sens de fake news, allant jusqu’à nier des études mondiales réalisées par des scientifiques de nations différentes – réchauffement climatique, nocivité écologique des hydrocarbures et de leurs méthodes d’extractions, notamment le fracking -. En utilisant des morceaux de rapports scientifiques, il tire des conclusions absolues allant dans le sens inverse de celles présentées initialement. Logique et argumentation, tout peut être déformé si l’on sait s’y prendre.

          Voilà une récupération parmi tant d’autres de la science, mais comme pour tout ce qui est scientifique, rien n’est absolu et oui, elle peut, à force de travail, de recherches et d’analyse, prouver qu’elle peut se tromper. Einstein et Hawking ont prouvé ce qui était jugé comme impossible il y a à peine cent ans, on envoie des gens dans l’espace, on sait que la terre est ronde et on ne meurt plus de la tuberculose. Chacun des faits cités étaient jugés comme impossibles à une époque ou une autre.

          Par contre, quand je lis :
          « Sauf que ces termes sont peu à peu classés politiquement incorrects, car ils ne desservent pas les intérêts de la superclasse économique : en gros, il est moins coûteux et plus facile de faire naître des restaurants MacDo standardisés sur toute la surface du globe si toutes les populations mondiales s’acceptent comme étant scrupuleusement identiques au reste de l’humanité. Et pour faire passer la pilule, on vous sert une bonne couche d’antiracisme dans vos médias quotidiens. »

          Ma première réaction et de cocher les cases du bullshit bingo où l’on retrouve, « les médias », « les intérêts de la super classe X » et « on veut faire faire au gens des trucs ». Ce discours, je l’entends et le lis bien plus souvent que je ne le voudrait, et 9 fois sur 10 il s’accompagne d’assentiments racistes, révisionnistes ou négationnistes. En reliant les points, j’y vois simplement quelqu’un qui minimise des propos racistes d’un personnage hautement raciste, ajoutant un possible complot de la super classe économique et une quelconque responsabilité des médias qui diffusent un discours antiraciste.

          Je fais donc fi de mes origines, de mon patrimoine historique mais aussi de mes convictions personnelles pour répondre à une invective qui me vise ainsi que mes coreligionnaires, où l’on nous dit à demi-mot que nous sommes intolérants et pétris d’une idéologie inconsciente. Donc en somme, nous ne réagissons que par un conditionnement et que nos convictions ne sont que le résultat d’une programmation plus que d’une conviction née d’une réflexion.

          C’est un point de vue qui pourrait se défendre, mais malheureusement, après un si long pavé, mes atavismes remontent et dans ce royaume dont je suis l’un des gardiens, je décrète avec toute l’intolérance qui est mienne que ce genre de discours n’a pas de place sur mes terres et n’en aura jamais.

          Je terminerai cette discussion ici en espérant qu’un jour, les réflexions comme les tiennes ne soient plus qu’une légende vaincue par l’éducation, mais en attendant, je te renvoie vers l’image de Yann qui illustrera fort bien mon poing sur toute cette histoire.

      Zeb, j’effacerais bien ton commentaire, mais je pense que ça vaut mieux de le laisser en ligne pour montrer à quel point la connerie peut aller loin.

      🖕

        Coucou Inks ! Ta réaction est plus éloquente que n’importe lequel des commentaires que j’aurais pu poster.

        Votre tolérance se limite donc à ce qui ne bouscule pas trop votre
        matrice idéologique. Mais bon c’est pas grave, on a tous nos petits trucs qui nous énervent, je vous comprends. Même si comme avec Fox, je suis assez peiné qu’on ne puisse pas discuter
        calmement sans se manger un « enculé » ou un doigt dès la première réponse. Surtout de la part de gens qui prétendent combattre l’intolérance… quel étrange deuxième paradoxe.

        Mais bon c’est pas grave je ne désespére pas, un jour tout le monde sera zen et on pourra mettre des choses à plat de manière constructive. Aussi éloignées soient nos conceptions du monde. J’en profite pour te remercier pour toutes ces émissions qui ont dû te prendre un temps fou et qui m’ont toujours apporté des moments agréables au cours de ces dernières années pendant mon jogging, en voiture, ou durant les quelques nuits où je ne parviens pas à trouver le sommeil. Bonne continuation pour la suite !

          Tu confonds « politiquement incorrect » et raciste, c’est chaud.

          Y’a effectivement certaines idéologies envers lesquelles j’ai tendance à l’intolérance. Celles qui mènent à considérer des pans de l’humanité comme inférieurs, par exemple.

          Il y a aussi ceux – tu sembles en faire partie – qui minimisent les termes racistes, et l’histoire lourde qu’ils portent, comme moyen de provoquer, de se donner un genre ou de lutter contre un « politiquement correct ». Quel triste combat.

          Et pour le ton, mec, t’es dans les commentaires des Tauliers. Tu t’attendais à quoi ? :’D

            Si moi, selon toi, je minimise des termes racistes pour me donner un genre, toi, selon moi, tu sur-évalues ces mêmes termes pour te ranger dans le camp des gentils combattants contre les méchants, pour pimenter ta petite vie plate et ne surtout pas remettre en question le moule dans lequel tu es né et a grandi. Combat non moins triste…

            Au risque de te choquer, il y a des gens qui peuvent tout à fait concevoir que des grands groupes ethniques existent, avec des caractéristiques différentes, sans pour autant mettre des échelles de valeur dessus. Le matraquage antiraciste a eu tellement d’effet sur toi que dans ta tête, c’est 0 ou 1. Aucun entre deux.

            Et pour finir, ce qui me surprends, ce n’est pas de me faire cracher à la gueule, mais c’est la totale incohérence de ta posture : faire la morale aux autres tout en l’ignorant pour soi. Dans cette optique, l’excuse du Taulier est parfaite : switcher de débatteur à Taulier dès que l’incohérence devient flagrante. Un procédé génial. Malhonnête, certes, mais génial. Bien joué !

              Ah, oui. « Many sides », comme dirait l’autre. 🙄

              Parler de « matraquage antiraciste », c’est sous-entendre que lutter contre le racisme aurait à un certain point quelque chose de néfaste, une forme de sensiblerie pour âmes fragiles, de manipulation de l’opinion. Tu t’élances sur une pente extrêmement savonneuse, en faisant ça.

              Pousse ta réflexion jusqu’au bout, qu’on rigole : qui veut bien nous cacher cette prétendue différence, et à quel obscur dessin ? Un clan mondialiste ? Ta tentative de justification, pêchée dans ton premier commentaire, est brouillonne et confuse.

              La mondialisation des échanges, bâtie sur la différence de traitement (salariale, libertés, conditions de travail), est au contraire née et continue d’être nourrie sur un déséquilibre hérité des guerres et des colonisations diverses, où l’occident a souvent eu l’occasion de jouer un rôle peu reluisant.

              Rappelons également que dans notre paradigme capitaliste, la mondialisation doit économiquement faire sens pour exister. Donc, elle doit nécessairement se faire au détriment de quelqu’un.

              M’est avis que cette mondialisation est « plus facile à faire passer » auprès d’une opinion publique si celle-ci n’a que foutre des populations qui produisent biens et denrées à un tarif indécent. ¯\_(ツ)_/¯

              Prétendre que l’absence de race n’est « qu’une opinion (!) servant la mondialisation (!) » est une abomination assez fulgurante. Il y a un consensus scientifique sur la question : les races n’existent pas, et ce peut importe le nom que tu voudras bien utiliser pour cela.

              Libre à toi d’exécrer la mondialisation – il existe des critiques construites très recevables à son encontre – mais ne va pas l’invoquer pour tenter de justifier tes idées moyenâgeuses et ta rhétorique malhonnête.

              Car oui, je relève que tu navigues avec la même stratégie conspirationniste que tant d’autres avant toi : si on avait tort avant, pourquoi n’aurait-on pas tort maintenant ? Tout est opinion, rien n’est factuel. La terre est plate. Je m’appelle Kodos. Tes faits valent autant que les miens.

              Sauf que le processus scientifique fonctionne en faisant rigoureusement la preuve de ce qu’on avance, pas en pointant la paille dans l’oeil de l’ancêtre.

              Et surtout, meta-vanne qui couronne ce bordel, tu prétends débattre politique et société avec des podcasteurs jeu vidéo dont la ligne édito est de déconner dans la bonne humeur, en étant grossiers par moments.

              C’est quand même vachement moins risqué qu’en allant voir des chercheurs en biologie, en anthropologie, en sociologie ou en économie.

              Bien vu, l’aveugle.

                Ce final de feu, on dirait le boss de fin de Cuphead en mode hardcore.

                En gros, tu as juste envie que je marche sur la plaque que tu as bien savonnée, armé de ton tampon conspirationniste, pour m’en foutre un gros coup sur le crâne quand j’aurais perdu l’équilibre et me discréditer à tout jamais quoi.

                Bien, j’ai récolté ce que j’étais venu chercher ! Merci à vous tous chers Tauliers, vous avez été parfaits ! J’ai été ravi de pouvoir échanger avec vous.

                Une excellente continuation à tous !

      J’ai voulu lire ce commentaire mais je n’arrivais pas à entendre le propos entre les sanglots.

    ¯\_(ツ)_/¯ > j’adore ce smiley.

    Petite session de rattrapage pour ce début de saison manqué.
    Comment les commentaires peuvent-ils partir à ce point en vrille? Ôô
    En tout cas merci pour ce numéro et bonne continuation!
    Ps : Je ne suis en aucun cas raciste … mais avouons-le, les gens qui jouent aux fps à la manette ne sont pas des gens comme nous … si ?

    Dis donc chez Kawa va falloir se calmer un peu sur FFXV (cf. également un La Cartouche).
    Vous parlez de naufrage alors que le jeu s’est très bien vendu, qu’il a permis à beaucoup de nouveaux venus de découvrir la série grace à un gameplay béton et un univers moins débilos / coloré que les précédents…
    Bref je vous comprends pas.

      Un univers moins débilos / coloré que les précédents ? Hmm…

        Je parle bien évidemment du point de vu « anti » hein. Je ne dénigre pas la franchise dans son ensemble.
        Mais quand un boss est une femme en armure dorée qui se transforme en moto ouais le cringe n’est pas loin…
        Donc en ça FFXv est un poil plus « sérieux »

          C’est quand même très fort de trouver ff15 « moins debilos » , alors qu’il est plus superficiel et ridicule que l’immense majorité des volets de la saga. Se prendre au sérieux est d’ailleurs probablement en partie ce qui le rend stupide.

      C’est toujours compliqué de parler de Final Fantasy parce qu’ils sont quasiment tous différents. Personnellement, je trouve aussi que FFXV est une catastrophe. On sent la mauvaise gestion du projet à des kilomètres. Sans rien spoiler, j’imagine qu’ils avaient prévu le double, voir le triple de contenu qu’ils ont réussi à condenser dans le produit final. Les précédents n’étaient pas forcément mieux écrits (le VII mis à part), mais la grande majorité avaient l’air à peu près complets.

      Plus que ça, je crois surtout que c’est une histoire de déception. C’était une des plus grosse arlésienne de la dernière décennie, surtout que c’était l’arlésienne d’une série adulée et emblématique du jeu vidéo. 10 ans plus tard, le jeu sort et il n’a absolument rien à voir avec ce qu’était Versus XIII. C’est dommage parce que le projet de départ et la mythologie qui l’accompagnait promettaient quelque chose de grand.

      Je te donne un exemple d’écriture et de mise en scène réussis dans un FF. Dans FFVII, on te laisse te familiariser avec Aerith, elle fait partie de ton équipe, c’est celle qui te soigne, elle est douce avec le héro, tu t’attaches à elle, elle t’accompagne pendant un moment dans l’aventure. En ce qui concerne Sephiroth, tu sais que c’est le salopard du jeu dès le départ, il a une présence qui pèse sur ton aventure et tu le poursuis. Lorsque ce même Sephiroth tue Aerith, le salopard du jeu tue un personnage important de ton équipe, que ce soit dans le scénario ou dans le gameplay. Il tue un personnage auquel tu t’étais attaché. Puis t’as l’impression que c’est de ta faute puisque c’est toi qui poursuis Sephiroth depuis le début du jeu. Enfin bref, c’est bien écrit et l’exécution est parfaite. Si tu compares cet exemple à un moment de FFXV qui y ressemble beaucoup, tu sens qu’ils ont essayé de faire quelque chose de similaire, mais l’effet tombe à plat. Tu vois rarement la meuf dans le jeu, elle fait pas partie de ton équipe, t’as jamais eu l’occasion de t’attacher à elle en tant que joueur. Le méchant est presque sympathique, il fait pas vraiment peur etc. Bref, quand le drame arrive, ça ne marque pas autant que dans FFVII. Dans FFVII, c’était d’autant plus choquant que le jeu était bien écrit pour un jeu qui ne se prenait que rarement au sérieux. FFXV est mal écrit et je crois que ça ressort encore plus à cause de tout le sérieux qui essaie de s’en dégager.

      Après je suis d’accord avec toi pour dire que – VI et VII misent à part – les FF sont tous mal écrits et que FFXV est loin d’être une exception.

        Très bien vendu, faut le dire vite. Surtout qu’il patine sur son turf (toujours pas de million au Japon) et qu’ils sont obligé de le décliner en jeu mobile pour le rentabiliser

    La série Yakuza qui aurait repris le meilleur de Shenmue? Putain mais qu’est-ce que ça fait mal au cul d’entendre un truc comme ça. Shenmue est un voyage dans un monde « cohérent » en surface invitant à la contemplation avec un rythme très lent et très posé là où Yakuza est un gros délire wtf qui s’assume. Et je ne parle même pas des parties techniques et des gameplay qui s’opposent totalement.

    Holà ! En parlant de FX traditionnels, il y a l’excellent podcast Splitscreen qui en parle :>
    http://www.splitscreenpodcast.com/
    Merci pour vos émissions ^^

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